"En v’là ben une course
quelle est bonne"
Brignais, samedi, fin de journée, je récupère mon dossard chasuble (petit clin d’œil à la SaintéLyon). Au programme pour vingt euros seulement 42 kms (sur un mix de chemins et bitume), des cadeaux de bienvenue : un bidon, un paquet de pates, des manchettes, trois ravitos un tee-shirt finisher (ou pas !) et un copieux repas d’après course, le Top.
23ème km second ravito et remplissage de la poche à eau (il fait toujours aussi chaud !). Avec les chemins caillouteux dans les bois il est temps de sortir la frontale. Je me sens bien, tout roule mais j’ai quand même l’impression qu’à ce rythme je ne suis pas dans mon objectif de temps prévu, comme à mon habitude aucun coup d’œil sur le chrono et donc aucune notion de l’heure.
Superbe montée à la chapelle St. Vincent éclairée et visible de loin puis le terrain devient très roulant aux alentours du 30ème km, j’en profite pour redoubler des concurrents. Passage ensuite par la mythique descente du Garon bien connue des amateurs de la SaintéLyon puis retour sur Brignais avec les panneaux décomptant les derniers kms.
Résultat, un quart d’heure de plus que mes prévisions, mais bon ! J’ai pris du plaisir et retrouvé un semblant d’envie de courir.
Le temps passe il est maintenant deux heures du matin (il fait encore 20°) je rentre mais le sommeil sera dur à trouver entre les images de cette très belle soirée d’été sur les chemins et la caféine de tout ce coca ingurgité.
Brignais, samedi, fin de journée, je récupère mon dossard chasuble (petit clin d’œil à la SaintéLyon). Au programme pour vingt euros seulement 42 kms (sur un mix de chemins et bitume), des cadeaux de bienvenue : un bidon, un paquet de pates, des manchettes, trois ravitos un tee-shirt finisher (ou pas !) et un copieux repas d’après course, le Top.
Les potes, Jean Paul (5ème
au scratch) et Pascal
Départ 20 heures, il fait encore
très chaud et il n’est pas facile de trouver son rythme. Peu
importe, depuis ma mésaventure sur l’UTCO je cherche à
reprendre confiance, retrouver ce petit truc qui nous fait prendre
du plaisir pour avancer. Et là ce soir ça à l’air de
fonctionner. Je reste avec Pascal car je sais qu’il grimpe
mieux que moi et je pourrais me fixer dans son sillage pour ne pas
décrocher. Cinq kms de plat puis enfin la première côte. Waouh,
celle là me calme toujours, puis nous poursuivons notre chemin au
milieu des vergers entre les cerisiers enflés de leurs fruits
rouges (mais pas le temps de s’arrêter).
"Merci encore
Jacques"
11ème kms et premier
ravito, Pascal ne se sent pas très bien et décide de mettre un
terme à son escapade semi-nocturne. Je repars donc seul sur ce
deuxième tronçon pour aborder au 15ème km la plus longue
montée du parcours qui nous mène sur le plateau de l’ouest
Lyonnais par un chemin de grosses pierres au milieu des
buissons, une sorte de garigue provençale. Arrivée au sommet nous
avons une vue superbe à 360° avec un ciel orangé du au coucher du
soleil.23ème km second ravito et remplissage de la poche à eau (il fait toujours aussi chaud !). Avec les chemins caillouteux dans les bois il est temps de sortir la frontale. Je me sens bien, tout roule mais j’ai quand même l’impression qu’à ce rythme je ne suis pas dans mon objectif de temps prévu, comme à mon habitude aucun coup d’œil sur le chrono et donc aucune notion de l’heure.
Superbe montée à la chapelle St. Vincent éclairée et visible de loin puis le terrain devient très roulant aux alentours du 30ème km, j’en profite pour redoubler des concurrents. Passage ensuite par la mythique descente du Garon bien connue des amateurs de la SaintéLyon puis retour sur Brignais avec les panneaux décomptant les derniers kms.
Résultat, un quart d’heure de plus que mes prévisions, mais bon ! J’ai pris du plaisir et retrouvé un semblant d’envie de courir.
"Et voilà mon troisième tee
shirt finisher !"
Repas pendant la remise des prix
en compagnie de Flavia et Franck de la LyonSaintéLyon (ou plutôt
devrais je dire de la 180).Le temps passe il est maintenant deux heures du matin (il fait encore 20°) je rentre mais le sommeil sera dur à trouver entre les images de cette très belle soirée d’été sur les chemins et la caféine de tout ce coca ingurgité.
lundi 24 juin 2013 20:07 , dans Compte rendu
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