Ce week-end, "come back sur le
goudron" afin de reprendre un peu de sensations de vitesse. Par
conséquent rien de tel qu’un bon petit semi !
Bizarrement quand on décide de faire une course en ville et plus particulièrement à Saint-Priest, la vision d’un parcours dans la pollution au milieu de barres d’immeubles nous vient vite à l’esprit, mais cette fausse idée est très vite balayée par la réalité. En effet, le décor est tout autre. Le tracé est vallonné avec une alternance de petites routes, soit dans des quartiers pavillonnaires ou soit au milieu des champs bordant l’autoroute.
C’est donc 1700 coureurs qui à 9 heures s’élancent pour un challenge personnel sur les trois distances proposées (5,8 10 et 21 kms).
Le temps est aujourd’hui propice à ce genre d’exercice. Comme d’habitude lorsque ça démarre rapidement, j’ai le tibia qui se durcit et la douleur m’oblige à avoir une foulée saccadée et bruyante jusqu’au 5ème km.
Nous passons sous l’arche des 10 km avec les encouragements des pom pom girls, puis c’est parti sur un nouveau tracé inauguré l’année précédente, un aller retour au Technoparc avec un faux plat montant sur les derniers kms.
Je suis au 12ème lorsque je croise le premier qui lui entame ses trois derniers. La fouulllée !!! Même avec 500kms d’entrainement par semaine je n’arriverai jamais à rivaliser !
Néanmoins, pour moi tout se passe super bien. L’effet Z.A. (comprenez Zéro Alcool) commence apparemment à porter ses fruits. Je franchis la ligne en 1h43, frais et sans aucun essoufflement. Plus de 12km/h, ce qui pour moi est très bien et qui me permet même de faire mieux que ma réputation de "Coureur du Milieu".
Un petit sandwich offert et une petite bière je veux dire d’eau gazeuse puis retour à la campagne.
Bizarrement quand on décide de faire une course en ville et plus particulièrement à Saint-Priest, la vision d’un parcours dans la pollution au milieu de barres d’immeubles nous vient vite à l’esprit, mais cette fausse idée est très vite balayée par la réalité. En effet, le décor est tout autre. Le tracé est vallonné avec une alternance de petites routes, soit dans des quartiers pavillonnaires ou soit au milieu des champs bordant l’autoroute.
"L'ambiance des
préparatifs"
"Une profusion de quincaillerie
pour la remise des prix"
L’organisation par le JOCEL
et ses 140 bénévoles est bien huilée. Il faut dire que c’est
la 19ème édition et les automatismes sont pris. Pour
nous aussi d’ailleurs puisque nous nous garons à la même
place depuis des années (à 50 mètres du départ).
"Toujours les mêmes!"
Cette année les inscriptions sont
fermées depuis une semaine (du jamais vu).C’est donc 1700 coureurs qui à 9 heures s’élancent pour un challenge personnel sur les trois distances proposées (5,8 10 et 21 kms).
Le temps est aujourd’hui propice à ce genre d’exercice. Comme d’habitude lorsque ça démarre rapidement, j’ai le tibia qui se durcit et la douleur m’oblige à avoir une foulée saccadée et bruyante jusqu’au 5ème km.
Nous passons sous l’arche des 10 km avec les encouragements des pom pom girls, puis c’est parti sur un nouveau tracé inauguré l’année précédente, un aller retour au Technoparc avec un faux plat montant sur les derniers kms.
Je suis au 12ème lorsque je croise le premier qui lui entame ses trois derniers. La fouulllée !!! Même avec 500kms d’entrainement par semaine je n’arriverai jamais à rivaliser !
Néanmoins, pour moi tout se passe super bien. L’effet Z.A. (comprenez Zéro Alcool) commence apparemment à porter ses fruits. Je franchis la ligne en 1h43, frais et sans aucun essoufflement. Plus de 12km/h, ce qui pour moi est très bien et qui me permet même de faire mieux que ma réputation de "Coureur du Milieu".
Un petit sandwich offert et une petite bière je veux dire d’eau gazeuse puis retour à la campagne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire