Tout fout le camp, mon bon
monsieur "y a ben plus d’saison". Voilà des années que ce
Trail Givré porte bien son nom puisque les dernières éditions se
sont déroulées pour la plus part sur des chemins parsemés de
flaques glacées craquant sous nos chaussures de trail au plastique
durci par le froid ou encore dans une fine pellicule de
neige.
Aujourd’hui changement de décor, après une pluie quasi ininterrompue hier, le soleil est au rendez-vous de cette première manche du "Trail Tour National". Le ciel est entièrement dégagé et la température est très agréable.
J’ai pris un mauvais départ, très loin sur la grille (tout ce que je n’aime pas) le mental n’y est pas et malheureusement le physique non plus. La vague humaine s’étire très vite sur ces chemins roulants et boueux. J’ai le corps tétanisé, les jambes me font mal, les bras sont lourds. Une sensation bizarre, un peu comme une voiture qui tourne sur trois cylindres, le souffle est pourtant bon. Je me traine sans pouvoir fournir aucune accélération. Le pire dans tout ça, est qu’il n’y aura pas d’amélioration jusqu'à la fin de cette course. Une grande première pour moi (il ne me reste plus qu’à analyser cette énorme défaillance!).
Je me traine donc sur ces chemins avec à mis parcours une très belle partie de monotrace sur des appuis glissants au cœur de la coulée verte du vallon des Echets. Les concurrents me doublent encore et encore et j’en profite pour discuter rapidement avec ceux que je connais. Puis c’est le final avec 5kms sur le bout du plateau de la Dombes. Une dernière petite cote et enfin l’arche d’arrivée. Je ne suis pas fatigué mais j’ai toujours cette raideur dans les jambes.
Ma nouvelle hygiène de vie momentanée m’empêche même de prendre un peu de réconfort avec une bonne bière "Single Track", tant pis ! Allez soyons fou, Coca à volonté. (Ah ! Ce n’est pas pareil)
Cette course à coté de la maison, très bien organisée par un club voisin et ami est très sympathique, même si je me demande toujours si elle à réellement sa place dans le TTN.
Aujourd’hui changement de décor, après une pluie quasi ininterrompue hier, le soleil est au rendez-vous de cette première manche du "Trail Tour National". Le ciel est entièrement dégagé et la température est très agréable.
"The AJT's band"
Après une nuit courte et agitée
je retrouve les compères de mon Team et les potes. Nous nous
changeons tranquillement puis nous abandonnons nos sacs dans la
salle, à la merci de tous. Il me semble que pour une course de
cette envergure nous aurions pu avoir un dépose sacs. Deux, trois
petits jeunes bénévoles et l’affaire était dans le sac !
(c’est le cas de le dire).
"Derniers
préparatifs"
9h15 après avoir regardé un quart
d’heure plus tôt le départ du 9km, c’est à nous de
s’élancer, sur un parcours de 23km tronqué sur une sage
décision des organisateurs. Exit la première remontée du
2ème km dans le bois à la sortie de Neuville, jugée trop
glissante et exit la traversée du ruisseau à mis parcours (là aussi
bonne idée, sécurité avant tout).J’ai pris un mauvais départ, très loin sur la grille (tout ce que je n’aime pas) le mental n’y est pas et malheureusement le physique non plus. La vague humaine s’étire très vite sur ces chemins roulants et boueux. J’ai le corps tétanisé, les jambes me font mal, les bras sont lourds. Une sensation bizarre, un peu comme une voiture qui tourne sur trois cylindres, le souffle est pourtant bon. Je me traine sans pouvoir fournir aucune accélération. Le pire dans tout ça, est qu’il n’y aura pas d’amélioration jusqu'à la fin de cette course. Une grande première pour moi (il ne me reste plus qu’à analyser cette énorme défaillance!).
Je me traine donc sur ces chemins avec à mis parcours une très belle partie de monotrace sur des appuis glissants au cœur de la coulée verte du vallon des Echets. Les concurrents me doublent encore et encore et j’en profite pour discuter rapidement avec ceux que je connais. Puis c’est le final avec 5kms sur le bout du plateau de la Dombes. Une dernière petite cote et enfin l’arche d’arrivée. Je ne suis pas fatigué mais j’ai toujours cette raideur dans les jambes.
Ma nouvelle hygiène de vie momentanée m’empêche même de prendre un peu de réconfort avec une bonne bière "Single Track", tant pis ! Allez soyons fou, Coca à volonté. (Ah ! Ce n’est pas pareil)
Cette course à coté de la maison, très bien organisée par un club voisin et ami est très sympathique, même si je me demande toujours si elle à réellement sa place dans le TTN.
dimanche 09 février 2014 20:14 , dans Trail
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